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L’Année de la Russie à Monaco a donné l’occasion aux amateurs de l’opéra d’avoir l’opportunité d’admirer la création unique de jeune Dmitri Chostakovitch, l’opéra « Lady Macbeth de Mtsensk » d’après le roman de Nikolai Leskov.
Le sarcasme aigue et les épisodes grotesques ont été brillamment interprétés par les solistes: Katerina Lvovna Ismailova – Nicola Beller Carbone, Serguei – Micha Didyk.
Le public a très bien accepté la mise en scène originale de l’opéra: l’amour et la passion, la haine, le crime et la punition – tout cela est d’actualité et trouve la réaction émotionnelle chez le spectateur d’aujourd’hui.
Le fils de Dmitri Chostakovitch – Maxime Chostakovitch a été présent dans la salle avec sa fille. Il a apprécié les compétences vocales des artistes et a mentionné que la mise en scène de l’opéra est très correct sans trop être modernisée.
Suite à une proposition de l’Association des Amis de l’Opera Monte-Carlo, ses membres, les artistes et le portail RUSINFO Méditerranée ont été invités au cocktail dinatoire à l’Hôtel Metropole. Nous avons pu d’avoir des échanges agréables suite à l’opéra et d’avoir écouter des souvenirs du fils de grand compositeur.
Le personnage de Katerina Ismailova toujours provoque des debats. Selon Nicola Beller Carbone, son personnage souhaite d’être libre et c’est une personne la plus innocente de tous, cet opinion coïncide avec celle de Dmitri Chostakovitch qui a écrit: » Personnellement, je vois en Katerina Ismailova une belle femme, très forte et intelligente qui se noie dans l’époque brutal et sombre, très typique pour la Russie des commerçants et des esclaves ».
Maxime Chostakovitch a raconté quelques histoires anecdotiques de sa vie. Par exemple, lors d’une promenade avec son chien, elle a marqué par hasards un monument de son père dans la cour. Le concierge a commencé à crier en colère: » Comment pourriez vous faire ça avec le monument du génie de la musique? », ne sachant pas qui est en face de lui, Maxime Chostakovitch lui a répondu avec sourire calme: » Pour nous c’est bien possible ».
Il y avait beaucoup des histoires drôles racontées pendant le cocktail. Une ambiance amicale reignait dans la salle animée par les souvenirs de la réussite de la première qui réunit des artistes et des spectateurs par un grand oeuvre de compositeur russe Dmitri Chostakovitch.
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